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Les Suspicious 6 : notre philosophie unique

L’équipe du Drunk Mag

Les Suspicious 6 : notre philosophie unique

Il y aura toujours des ingrédients que l’on choisira d’éviter en fonction d’expériences et de préférences personnelles.

Notre philosophie unique sur les Suspicious 6, en revanche, est inspirée par la science et soutenue par la recherche. Les Suspicious 6 regroupent les sensibilisants cutanés les plus courants (sources de symptômes tels que des inflammations), parmi lesquels parfums, colorants et huiles essentielles sont les plus incriminables. Ceci est largement reconnu dans la littérature scientifique.

Nos connaissances du vieillissement cutané, de la cicatrisation et des problèmes tels que l’acné ont évolué grâce à une meilleure compréhension des réactions de la peau aux irritations. Il est aussi communément admis que tout ce qui augmente l’inflammation aggrave les problèmes tels que l’acné (un trouble inflammatoire), les dommages causés par le soleil (autre trouble inflammatoire) et l’irrégularité du teint et du grain de peau (favorisés et aggravés par l’inflammation). [1,5,6,7]

Irritation et inflammation réduisent la capacité de la peau à cicatriser tout en anéantissant les principales substances de soutien de la peau (collagène et élastine) et en appauvrissant le manteau acide de ses substances vitales, comme les céramides, l’acide hyaluronique et les antioxydants. L’exposition aux ingrédients sources d’irritations et d’inflammations laisse la peau plus vulnérable aux agressions environnementales par le soleil, le tabac et la pollution. [2,3]

Les irritants environnementaux déclenchent des processus inflammatoires qui conduisent à une accumulation de lésions sur la peau. En résulte une détérioration du collagène et de l’élastine, une mauvaise cicatrisation et des effets encore plus néfastes des radicaux libres. [5,6,7,13,26,37]

Les effets de l’inflammation sur la peau s’accumulent, que vous montriez ou non des signes d’irritation. L’exposition répétée aux irritants contribue au fil du temps à affaiblir la barrière cutanée, ralentir la cicatrisation (y compris des marques rouges d’acné) et produire un teint irrégulier. [5,2,7,25,38]

Bannir les substances connues pour causer des irritations et inflammations va non seulement atténuer les comportements cutanés indésirables mais être bénéfique à la santé globale et soutenue de la peau.

L’inflammation peut aussi être à l’origine de nombreux « types de peau » auxquels nous nous identifions. Une irritation, par exemple, peut stimuler les terminaisons nerveuses dans les pores qui, à leur tour, déclenchent la production d’androgènes, des hormones qui augmentent la production de sébum. [3,4]

L’acné étant un trouble inflammatoire, réduire l’inflammation atténuera les éruptions. Mais si la peau continue d’être irritée, l’inflammation continuera elle aussi, aggravant les éruptions et retardant leur cicatrisation. [3,4,21,22,23,24]

La cause principale d’une peau constamment sèche est une incapacité à retenir l’eau dans la peau. Inflammation et irritation empêchent la peau de retenir les acides gras essentiels, les émollients et les autres substances qui lui assurent souplesse et douceur. À la longue, l’incapacité de la peau à préserver l’équilibre de ces substances conduit à une sécheresse, des craquelures et inflammations de la barrière cutanée. [14,15,27]

Sur la base de ces données scientifiques, nous estimons que bannir les substances connues pour causer des irritations et inflammations va non seulement atténuer les comportements cutanés indésirables mais être bénéfique à la santé globale et continue de la peau. [1,2,3,4,5,6,7,13,26,27,37]

Bannir les substances connues pour causer des irritations et inflammations va non seulement atténuer les comportements cutanés indésirables mais être bénéfique à la santé globale et soutenue de la peau.

Illustration de gouttes de sodium lauryl sulfate barrées
SODIUM LAURYL SULFATE

Le sodium lauryl sulfate (SLS) est un irritant cutané si universel qu’il est utilisé comme référence pour évaluer le potentiel irritant d’autres ingrédients sur la peau. Cela veut dire que dans les études scientifiques, lorsque les chercheurs veulent établir si un ingrédient est ou non problématique pour la peau, ils comparent son effet à celui du SLS. [33]

À une concentration comprise entre 2 et 5 %, le lauryl sulfate de sodium peut provoquer des réactions allergiques ou sensibilisantes. [46,47]

Peut-être faites-vous partie de ceux qui apprécient la sensation associée à l’utilisation du SLS – cette impression de propreté absolue – mais il s’agit vraisemblablement d’un signe d’irritation de la peau, ce qui aggrave les problèmes cutanés. [16]

Il est aussi important de relever que de nombreux nettoyants utilisant des tensioactifs agressifs, comme le SLS, ont un pH alcalin (c’est-à-dire un pH supérieur à 8). On observe alors des répercussions négatives sur le manteau acide en provoquant des irritations et en augmentant la présence de bactéries par rapport aux tensioactifs plus doux, au pH plus proche de la peau (autour de 5,5). [17,18,19,20]

Illustration d’une bouteille d’alcool barrée
L’ALCOOL

Les formules contenant de l’alcool – que vous repérez sur une liste d’ingrédients sous le nom d’alcool SD, alcool dénaturé, alcool dénat., alcool de grain, alcool éthylique ou simplement alcool – réduisent la capacité de la peau à préserver ses niveaux d’hydratation et peuvent entraîner une augmentation de la production de sébum. [4,3,24]

Si l’alcool améliore la pénétration des ingrédients actifs, il le fait en dissolvant et en détériorant les lipides essentiels de l’enveloppe acide – les substances mêmes qui préservent l’équilibre de votre peau sur le long terme. [30] 

En réalité, après une exposition régulière et prolongée aux formules à base d’alcool, l’enveloppe acide n’est plus capable d’empêcher l’eau et les agents nettoyants de pénétrer lors du lavage, ce qui affaiblit encore la barrière cutanée. [31]

Ce qui est paradoxal dans l’utilisation de soins à base d’alcool pour l’acné ou dans les produits matifiants, c’est que les dommages qu’ils causent entraînent une augmentation des éruptions, une dilatation des pores, une augmentation de la production de sébum dans les pores et une plus grande inflammation. [21,22,29]

Les recherches ont démontré que même à de faibles niveaux, l’alcool dénaturé (éthanol) provoque des dommages par radicaux libres dans la peau. Dans une étude, 3 % d’alcool (les produits d’hygiène personnelles en contiennent entre 5 et 60 % ou plus) appliqué sur des cellules cutanées en laboratoire pendant 48 heures a entraîné une augmentation de la mort cellulaire de 26 % et une réduction des cytokines qui combattent l’inflammation, tout en favorisant les dommages causés par les radicaux libres. Ces dommages augmentaient proportionnellement à la durée d’exposition des cellules à l’alcool. En d’autres termes, une exposition de 48 heures était nettement plus nocive qu’une exposition de 24 heures, et ce pour une concentration de seulement 3 %. [32]

Illustration d’un flacon de parfum barré
LES PARFUMS ET COLORANTS

L’utilisation régulière de produits contenant du parfum, d’origine naturelle ou synthétique, conduit à une inflammation chronique qui nuit à la production de collagène, aggrave les problèmes de peau (sécheresse, production excessive de sébum, éruptions cutanées) et entrave la cicatrisation. [5,6,10,11,12]

Les parfums et colorants, qu’ils soient d’origine naturelle ou synthétique, sont la principale source de réactions allergiques aux produits d’hygiène personnelle. [11,36,41]

La réaction peut être immédiate ou se développer au fil du temps. Parfois, quand plusieurs produits parfumés sont utilisés, la peau atteint un point critique et réagit alors subitement, souvent intensément. [2,5,7]

Illustration d’une fleur barrée
LES HUILES ESSENTIELLES

Les effets nocifs des parfums, d’origine naturelle comme synthétique, sont généralement bien connus grâce à des données exhaustives sur le sujet (voir ci-dessus). Les huiles essentielles sont pour leur part particulièrement insidieuses en raison de leur structure chimique complexe et de leur capacité à réagir à l’exposition aux UV et à l’oxygène, ce qui accroît leur nocivité pour la peau. [10,11,28,29,34,35,36,39,40,41]

Ceci est dû à la présence d’une catégorie d’ingrédients appelés furanocoumarines (psoralènes) et coumarines, qui sont principalement responsables de la réaction dite phototoxique qui se produit lorsque la peau est exposée au soleil. Cette réaction peut entraîner une décoloration de la peau. [42,43,44,45]

Illustration d’un liquide barré
LES ÉCRANS SOLAIRES CHIMIQUES

L’expression « écrans solaires chimiques » fait référence aux multiples ingrédients actifs fournissant différents degrés de protection contre les rayons UVA et UVB, en fonction de la façon dont ils sont associés et stabilisés. Aux États-Unis, l’avobenzone, l’oxybenzone, l’octocrylène, l’octinoxate et l’octisalate en sont des exemples courants. [50]

Nous évitons ce type d’actifs solaires car beaucoup de gens les trouvent irritants, en particulier au niveau du contour de l’œil. Comme nous l’avons mentionné, l’irritation est problématique pour toutes les peaux, mais elle l’est particulièrement pour les personnes souffrantes de troubles cutanés, comme la rosacée ou l’eczéma. [5,6,7,48,49,50,51]

Illustration d’un bécher barré
LES SILICONES

Nous évitons les silicones en raison de leur potentiel à « piéger » les ingrédients actifs, réduisant ainsi leur biodisponibilité et parce que nous leur préférons des alternatives qui offrent à la peau des bienfaits plus complets. Nous avons constaté que cette démarche est appréciée par nos clients, nombreux à considérer la présence de silicone comme préjudiciable à leur peau (provoquant des éruptions et une esthétique désagréable).

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